Au terme d’une première collaboration fructueuse avec le Ballon de Paris, Generali France vient de renouveler sa confiance en s’engageant dans un nouveau partenariat d’une durée de 5 ans. Investi en faveur de la qualité de l’air depuis 2012, l’assureur souhaite encourager la recherche scientifique à aller plus loin et contribuer à une meilleure information des franciliens.
Plus beau, plus visible et complété de nouveaux instruments de mesure, il permettra de mieux connaître la qualité de l’air de Paris.
Le temps de faire peau neuve, le Ballon Generali disparaît pour quelques semaines du ciel parisien à partir du 9 janvier 2018. Dès la fin du mois de mars, le grand public pourra à nouveau voler au dessus de la Capitale.
- 2012-2017 : le bilan positif d’une collaboration inédite
Au plan scientifique, la collaboration inédite entre les 5 acteurs privés et publics (Mairie de Paris, Airparif, Generali, le CNRS, et Aérophile) a permis au Ballon de Paris de se transformer en un véritable laboratoire volant. Grâce au LOAC (Light Optical Aerosol Counter), appareil de recherche installé en 2013 sur le ballon par le CNRS, le ballon mesure, 7 jours sur 7, la quantité de particules fines présente au-dessus du parc André Citroën, de 0 à 300 mètres de hauteur.
Ces mesures ont donné lieu à plusieurs rapports, qui ont révélé une grande cohérence avec celles d’Airparif et apporté des enseignements riches et complémentaires notamment sur les pics de pollution.
Au plan touristique, le Ballon Generali continue son envolée avec une fréquentation d’environ 60 000 passagers/an. Le Ballon fait désormais partie des « incontournables » pour admirer Paris d’en haut, sans polluer l’air !
- 2018-2022 : un partenariat renforcé en faveur de la qualité de l’air
Generali France souhaite poursuivre le travail scientifique engagé en allant plus loin encore dans les connaissances de la composition de l’air que les parisiens respirent. Des instruments de mesure inédits vont compléter le dispositif existant pour notamment :
- étudier en temps réel, du sol à 300 mètres d’altitude, l’ozone, autre grand polluant de l’atmosphère,
- expérimenter la technologie LIDAR (technique basée sur l’émission d’un pulse laser et sur la mesure du délai entre cette émission et la détection du rayonnement réfléchi par un objet d’intérêt (ici les aérosols), fournissant ainsi une information sur la distance à laquelle se trouve cet objet). Installée à bord du ballon, elle permettra d’obtenir une cartographie 3D des particules fines du Ciel de Paris
«Generali France est fier de prolonger et de renforcer ce partenariat. Depuis 2010, nous engageons auprès de nos parties prenantes - clients, salariés, distributeurs et partenaires – des actions de sensibilisation aux conséquences de la pollution atmosphérique sur la santé (particulièrement celles liées aux particules fines). La reconduction de ce partenariat pour 5 nouvelles années nous donne une occasion unique d’encourager plus encore la recherche scientifique qui va pouvoir disposer de nouvelles données sur la composition de l’air. » explique Jean-Laurent Granier, Président de Generali France
La Mairie de Paris, Airparif, Generali France, le CNRS, et Aérophile vous donnent rendez-vous autour du 20 mars (selon météo), pour le gonflement du nouveau Ballon Generali.